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Fusions-acquisitions (ou fusacq), voilà bien un mot qui fait instantanément réagir et divise la population active en deux :    * Sourire immédiat pour les banquiers d’affaires et les dirigeants des entreprises concernées Avec 3 340 milliards de dollars  (source Thomson Reuters), les rachats d’entreprises dans le monde ont augmenté de 47 % en 2014.* Inquiétude sur les visages de tous les salariés des entreprises concernées. Que va-t-il se passer ? Nos postes vont être supprimés ? Va-t-il y avoir un plan de restructuration ? À l’extrême : la grève !Ce clivage n’a cessé de se creuser depuis ces dernière années, allant jusqu’à opposer toutes les parties prenantes de l’entreprise, jusqu’aux caricatures les plus désobligeantes.Mais à y regarder de plus près, ces 2 réactions pourraient aisément changer et tout le monde aurait à y gagner.

La course au « court terme »

Osons le dire, les fusions-acquisitions et les transactions financières sont utiles et nécessaires dans notre économie mondialisée !Ce procédé permet par exemple à une entreprise en difficulté de vendre certains de ses actifs à son concurrent et de ce fait sauver quelques emplois avant un dépôt de bilan annoncé. Ou encore, dans un marché fortement concurrentiel, deux entreprises peuvent fusionner afin de faire face à leur plus gros concurrent afin d’éviter de se faire prendre leurs parts de marché et donc à terme de fermer boutiques.Mais comme tout mécanisme, poussé à l’extrême la fusion-acquisition (fusacq) est dangereuse. Les évolutions imposées par l’ère numérique ainsi que les changements sociétaux, économiques et politiques créent de plus en plus de volatilité sur les marchés, de turbulences dans le monde des affaires et poussent les entreprises à être toujours plus rapide tandis que le monde de la finance ne cherche plus, de fait, qu’à se protéger du risque… Il faut être rapide, avoir des résultats sur le court terme (on parle en trimestre pour les Etats-Unis) ! Peut-on créer de la valeur en 1 trimestre ? Peut-on intégrer une entreprise acquise afin de construire et développer des innovations en 1 trimestre ?Parlons argent, les fusacqs s’apparentent souvent à la « loi du plus fort » (ou du plus riche), mais les acteurs de fusions-acquisitions optimisent-ils réellement leurs gains sur des opérations à court terme ?

30 % des « coûts cachés » lors d’ une fusion-acquisition proviennent…

Le nerf de la guerre de ce type d’opération est bien l’argent, le cash.Mais en entrant dans les détails financiers d’une telle opération court-termiste, on peut aujourd’hui l’affirmer, les dirigeants (et fonds d’investissements)  des entreprises « acheteuses » perdent aujourd’hui de l’argent, sans parfois même s’en rendre compte.Lors de fusions-acquisitions, la majorité des entreprises n’est essentiellement axée que vers les aspirations des actionnaires et les marchés financiers. Très rares sont celles qui s’intéressent aux besoins de leur management, de leurs équipes ou aux différences culturelles.Il y a des avantages financiers à court terme évidents pour deux entreprises à fusionner, mais ces avantages sont souvent réalisés au détriment de la culture des deux organisations, ce qui entraîne de nombreuses démissions, des statuts quo et des équipes en place démotivées pendant toute la période dite d’intégration (comprise entre 18 mois et 3 ans).A moyen terme (plus d’un trimestre pour les entreprises américaines) ces conséquences coûtent très chères aux entreprises ! La perte de chiffre d’affaires est directement impactée et selon les pays les salaires des employés en « statut quo » plombent fortement la profitabilité de l’entreprise.

30 % des « coûts cachés » après une fusion-acquisition proviennent du désengagement des équipes

Le défi consiste à garder les employés « clés » motivés par le processus de fusion et d’acquisition, tout en réalisant des bénéfices suite aux rapprochements des deux entités. Cette stratégie se prépare bien en amont de l’annonce au marché d’une fusacq et nécessite l’accompagnement d’un spécialiste pour un ROI (retour sur investissement) garantie.  Augmenter ses profits à moyen terme, tout en gardant ses équipes motivées et en créant de la valeur = c’est ça la fusion-acquisition positive !

isabelle Saladin, Présidente I&S Adviser

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