Les Operating Partners = L’Assurance de votre Croissance avec la crédibilité de l’avoir déjà fait « dans nos propres entreprises »

Si beaucoup de startups sont créées en France, trop d’entre elles partent et se revendent à des investisseurs américains faute de trouver les financements en Europe pour leur hypercroissance. Il est plus que temps de créer une grande place boursière technologique européenne pour, à la fois, que les fonds aient les moyens de financer ces startups et que les startups aient un autre horizon que la Bourse de New York.

Les premiers chiffres sur les levées de fonds 2016 ont été publiés. Après l’étude Clipperon – Digimind en janvier, c’est au tour d’EY d’annoncer en février plus de 2 milliards d’euros levés par des startups françaises l’an dernier. Avec quelques très belles opérations réalisées par des entreprises comme Sigfox (150 millions d’euros ), Devialet (100 millions d’euros), Deezer (100 millions d’euros), Linkbynet (50 millions d’euros), Teads (43 millions d’euros), Medday Pharmaceutticals (34 millions d’euros), Navya (34,1 millions d’euros), Drivy (31 millions d’euros), Ecovadis (30 millions d’euros), Wynd (30 millions d’euros)… Mais pour combien en dessous du million d’euros ?

Certes, les volumes en 2016 ont augmenté de 22% par rapport à 2015. Mais, si cela confirme la France comme une terre de startups, cela ne résout pas notre problème de génération d’ETI et autres scaleups et licornes. Car le problème de fond reste le même : pour lever plusieurs dizaines de milliers d’euros, les startups cherchent des partenaires financiers hors de l’UE et en premier lieu aux Etats-Unis. Or quand un fonds Américain investit dans une entreprise, il a toujours en tête de la racheter ou de sortir via une IPO sur la bourse de New York. Faut-il continuer à

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maddy

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